Mercantile Exchange of Madagascar

MEX Madagascar Revue hebdomadaire

Volume: 88

18 Mars au 22 Mars 2019

Générée le 25 Mars 2019

 
 
Mercantile Exchange of Madagascar Mercantile Exchange of Madagascar Mercantile Exchange of Madagascar
Option-Trader
 
 
 

     METAUX PRECIEUX

 
 
 
 Métaux précieux  Open  Low  High  Close
 SPT-GOLD  3901950  3894187.5  3962137.5  3937162.5
 SPT-SILVER  45742.5  45337.5  46912.5  46192.50
 COPPER-MAR19  8728  8518  8907  8541
 
 
  L'or a affiché de solides gains pour lancer la semaine. Lors de la séance nord-américaine de lundi, le prix au comptant pour une once d’or est de 1322,50 $, en hausse de 0,69% sur la journée. Le métal est actuellement à son plus haut niveau depuis la fin février. Les États-Unis publient mardi les permis de construire et la confiance des consommateurs CB.

Les investisseurs nerveux sont généralement de bonnes nouvelles pour l'or, qui est un actif refuge. Les investisseurs sont de mauvaise humeur depuis la réunion de politique de la Réserve fédérale mercredi. La Fed est assouplie depuis le début de l'année, mais elle était beaucoup plus accommodante que prévu la semaine dernière. Le graphique en points de la Fed indique que les niveaux de taux resteront inchangés pour le reste de 2019 et que la Fed a également abaissé ses prévisions de croissance pour 2019 à 2,1%, contre 2,3% en décembre. Il y avait d'autres mauvaises nouvelles vendredi, l'écart entre les bons du Trésor à 3 mois et à 10 ans étant devenu négatif pour la première fois depuis 2007. Il s'agit d'une courbe de rendement inversée, considérée comme un indicateur de récession. Les marchés boursiers ont fortement chuté à la fin de la semaine dernière et la tendance à la baisse s'est poursuivie lundi. C'est une bonne nouvelle pour l'or, qui a grimpé de près de 1,0% depuis jeudi. Si l'appréhension du risque reste forte, les traders peuvent s'attendre à ce que l'or continue à grimper.
Le prix du cuivre a fini en baisse marquée sur le London Metal Exchange (LME) après avoir peiné à trouver une direction forte sur la semaine, évoluant au gré des tribulations d'un dollar volatil.
Jeudi, le cuivre avait atteint un plus haut en huit mois et demi à 6.555,50 dollars la tonne.
Le billet vert est la monnaie de référence du marché des métaux. Quand la Réserve fédérale américaine (Fed) s'est montrée plus prudente que prévu jeudi, cela a entraîné une baisse du cours du dollar et les investisseurs utilisant d'autres devises ont pu effectuer des achats de métaux à bon compte.
"Mais au fil de la séance, l'effet de l'action de la Fed s'est estompé, le dollar s'est repris et la tendance haussière des métaux a disparu", a commenté Liz Grant, courtière chez Sucden.
Ainsi, alors que le dollar se ressaisissait, le cuivre a sombré vendredi à son plus bas en un mois, à 6.336,50 dollars la tonne.
Déficit de l'offre en 2018
Mme Grant rappelle que les inquiétudes sur la guerre commerciale entre la Chine et les Etats-Unis pèsent sur le marché.
Mercredi, Donald Trump a de nouveau soufflé le chaud et le froid, affirmant que les droits de douane punitifs imposés à la Chine pourraient rester "en place pour une période conséquente", pour forcer Pékin à négocier un accord commercial.
Les négociateurs américains se rendront une nouvelle fois en Chine les 28 et 29 mars pour tenter de parvenir à un accord, a ensuite annoncé jeudi le ministère chinois du Commerce.
La Chine est le premier importateur mondial de métaux. Le cuivre est tout particulièrement sensible à sa croissance puisque le métal rouge est utilisé pour concevoir les circuits électriques utilisés aussi bien dans l'immobilier que dans l'automobile ou dans l'électroménager.
Malgré ces pressions sur la demande, en 2018, le marché du cuivre a enregistré un déficit de l'offre de 387.000 tonnes, selon des données du Groupe international d'étude du cuivre publiées mercredi.
"Les raisons de ce déficit sont à chercher du côté de l'offre" alors que la production a été perturbée sur plusieurs sites importants en 2018, ont commenté les analystes de Commerzbank.
Santé d'acier pour la production d'inox
Autre métal dont la demande vient surtout de Chine, "la production d'acier inoxydable a atteint un niveau record en 2018 à 50,73 millions de tonnes, en hausse de 5,5% sur un an", ont souligné les analystes de Commerzbank, citant des données du Forum international de l'acier inoxydable.
Mais plusieurs acteurs du marché attendaient une croissance de la production encore plus élevée, ont relevé les mêmes analystes.
Le nickel, dont le cours reste à l'équilibre sur la semaine, a dans un premier temps profité de cette production élevée.
La demande de nickel provient en majorité de son utilisation dans cet alliage.
Mais les analystes de Bank of America Merrill Lynch tablent toujours sur un bond des cours du nickel en raison de son rôle essentiel dans la conception de batteries de véhicules électriques, secteur en plein essor.
"Le passage du secteur de l'acier inoxydable à celui des véhicules électriques comme principale source de la demande ne se produira pas avant plusieurs années", ont, pour leur part, argué les analystes de Commerzbank.
Sur le LME, la tonne de cuivre pour livraison dans trois mois s'échangeait à 6.338 dollars vendredi à 14H40 GMT, contre 6.422 dollars le vendredi précédent à la même heure.
L'aluminium valait 1.881,50 dollars la tonne, contre 1.897,50 dollars.
Le plomb valait 2.033 dollars la tonne, contre 2.077 dollars.
L'étain valait 21.450 dollars la tonne, contre 21.165 dollars.
Le nickel valait 12.945 dollars la tonne, contre 12.950 dollars.
Le zinc valait 2.813 dollars la tonne, contre 2.786,50 dollars.
 
 
 
 

     ENERGIE

 
 
 
 Energie  Open  Low  High  Close
 CL-MEXM-MAR19  175 620  175 560  181 170  176 215
 BRC-MEXM-APR19  201 480  200 860  206 070  200 860
 NG-MEXM-MAY19  8382  8133  8691  8147
 
 
  En début de semaine, l’or noir a connu une montée fulgurante. En effet, les membres de l’OPEP soutenus par dix Etats alliés se sont réunis en Azerbaidjan pour discuter de leur stratégie qui, depuis deux ans permet de maintenir haut le prix du pétrole.
Les mesures actuelles quant à l'accord de limitation de la production ont été prolongées jusqu'en juin ; les pays de l'alliance se sont engagés à réduire leur production de 1,2 million de barils par jour au total afin de soutenir les prix du brut ce qui a permis de stabiliser le marché après un fort effondrement des prix. Si en 2016 le cours se situait aux alentours de 40 dollars, en 2018 il a atteint la barre des 70 dollars pour se redresser en 2019.
"Les fondamentaux du marché ne changeront probablement pas dans les deux prochains mois", selon le comité ministériel de suivi Opep et non-Opep (JMMC) pour expliquer cette décision.
"La stratégie de l'Opep+ semble déjà porter ses fruits", écrivent les analystes de Commerzbank
Effectivement, le Brent s'est apprécié d'environ 25% depuis le début de l'année suite à l'accord d'encadrement de la production de l'alliance « Opep+ » et aux sanctions américaines contre l'Iran et le Venezuela.
Le marché profite aussi de données de « Genscape » indiquant une baisse de 1,08 million de barils des stocks de brut la semaine dernière au terminal américain de Cushing, point de livraison pour le WTI.
En milieu de semaine, la hausse du cours de l’or noir a donc été encore plus soutenue suite à l’annonce de la chute des stocks Américains et de la réduction conséquente de leur exportation, poussant le baril à plus de 60 dollars, cours non dépassé depuis novembre 2018.
A cela s’ajoute une Demande mondiale de plus en plus croissante et la fin de semaine a vu les cours légèrement reculer.

En dépit de vents contraires, matérialisés par des interrogations sur la robustesse de la demande de pétrole, les cours pétroliers progressent, soutenus par le travail de l’OPEP+, que l’on pourrait volontiers associer à une banque centrale. Les discours des représentants du cartel élargi demeurent identiques sur un point, celui d’ancrer à la hausse les anticipations des prix pétroliers.

A ce titre, le terrain est préparé à un prolongement des quotas pétroliers, en cause, l’infatigable essor du pétrole de schiste américain. L’alliance OPEP+ craint effectivement un engorgement du marché, dont le rééquilibrage en termes d’offre et de demande prendra plus de temps que prévu.
Tout est ainsi mis en œuvre pour éviter une nouvelle rechute des prix et préserver une stabilité du marché. De ce fait, si le marché ne sera finalement pas rééquilibré dès la fin de ce premier trimestre 2019, l'alliance sous-entend qu'il le sera coûte que coûte, sans pour autant fixer un calendrier précis. A plus court terme, les opérateurs restent attentifs à la chute de la production vénézuélienne,
annihilée par un contexte économique de plus en plus tourmenté, ainsi qu’à la production iranienne, éprouvée par les sanctions US (voir graphique ci-dessus). Toutefois, à un horizon de temps plus lointain, les dynamiques enregistrées outre-Atlantique nuances ce tableau. L’Agence internationale de l’énergie s’attend à ce que les exportations américaines détrônent celles de la Russie dans les prochaines années, pour s’établir à un niveau proche de l’Arabie Saoudite, à près de 9 millions de barils par jour ; un véritable bouleversement historique du poids des Etats-Unis sur les marchés pétroliers.

Techniquement, en données hebdomadaires, aucun signe d’essoufflement du rebond des cours n’est à constater. La bonne tenue des 63 USD, suivie d’un franchissement des 67 USD ouvre la voie à un prochain test des 70 USD. Au-delà du symbole, ce niveau constitue une résistance majeure et coïncide avec la moyenne mobile à 50 périodes. Dans ce cadre, seul un retour sous 63 USD fragiliserait le courant acheteur toujours en vigueur.

Les marchés du gaz naturel ont reculé pour entamer la semaine, mais se sont retournés pour combler cet écart. Je pense qu’à ce stade, il est possible que nous assistions à une légère hausse, mais j’imagine qu’il y aura suffisamment de vendeurs pour maintenir le marché à la baisse. Nous continuons à consolider entre 2,50 $ et 3,00 $, ce qui signifie que nous nous situons essentiellement au milieu de la fourchette la plus large. Bien que je sois plus enclin à la baisse sur ce marché, la négociation en cours de consolidation est un excellent moyen de perdre de l'argent, je vais donc simplement rester à l'écart. Cependant, je reconnais que près du niveau de 2,90 dollars, nous commençons à voir des vendeurs arriver sur le marché en masse, tout comme nous voyons beaucoup de pression d’achat débuter à 2,60 dollars.
 
 
 
 

     AGRICULTURE

 
 
 
 Agriculture  Open  Low  High  Close
 WT-M-MAY19  13897  13612  14025  13936
 KC-M-MAY19  2913.9  2810.5  2938.1  2829.2
 SB-M-MAY19  379.75  373  386  376.75
 
 
  Le café, le cacao et le sucre n'ont pas tenu de tendance forte sur la semaine, alors que les fondamentaux de l'offre ont peu évolué.
Contrairement aux autres matières premières, les agricoles tropicales sont peu affectées par le feuilleton des tensions sino-américaines et par l'affaiblissement de la croissance chinoise.
Mais cette exception pourrait s'estomper alors que la demande chinoise pour les produits plus luxueux que sont le café, le sucre et le chocolat va se décupler, ont estimé les analystes de Capital Economics.
Selon eux, si "le choc de la Chine sur la demande de matières premières agricoles" s'est déjà produit pour les céréales, il ne s'est pas encore concrétisé pour les tropicales.
Le café ne rebondit pas
Le prix du robusta s'est ressaisi et celui de l'arabica a un peu flanché, les deux types de café restant à des niveaux bas.
"Ceci dit, le robusta fait quand même mieux que l'arabica", a indiqué un analyste de Commerzbank puisque le premier type de café se contente de rester proche de son plus bas en deux ans alors que le deuxième frôle ses plus bas en 13 ans.
Les observateurs du marché s'attendent toujours à une récolte très abondante au Brésil, premier producteur mondial et dont les fermiers produisent surtout de l'arabica.
Le cacao en peine
Les prix du cacao ont reculé sur la semaine. Les conditions météorologiques ont été bonnes en Côte d'Ivoire et au Ghana, deux premiers producteurs mondiaux, avec des pluies nécessaires à la récolte de mi-saison, selon un sondage de fermiers dans les régions productrices d'Afrique de l'Ouest réalisé par Bloomberg.
"Il y a moins de fèves qui arrivent dans les ports de Côte d'Ivoire, mais c'est normal, la saison principale s'achève et la récolte de mi-saison n'a pas encore commencé", a ajouté Jack Scoville, analyste chez Price Futures Group.
Le sucre flotte
Les cours du sucre ont évolué sans tendance forte sur la semaine.
"En se projetant, les perspectives de la fourchette de prix que le sucre occupe depuis octobre n'a pas changé", a commenté Andy Duff, analyste chez RaboBank.
Selon lui, le sucre ne peut pas creuser sous le seuil de 11,5 cents la livre de sucre brut car, si les prix deviennent trop bas, les producteurs indiens arrêteront d'exporter pour se concentrer sur leur marché national.
A l'inverse, une hausse trop élevée des prix (au-dessus de 14 cents la livre) pousserait cette fois les producteurs brésiliens à délaisser la transformation de canne à sucre en éthanol pour se concentrer sur la transformation de canne en sucre, augmentant fortement l'offre sur le marché mondial.
Sur le Liffe de Londres, la tonne de ROBUSTA pour livraison en mai valait 1.505 dollars vendredi à 11H40 GMT, contre 1.467 dollars le vendredi précédent à la même heure. Sur l'ICE Futures US de New York, la livre d'ARABICA pour livraison en mai valait 95,30 cents, contre 97 cents sept jours auparavant.
A Londres, la tonne de SUCRE BLANC pour livraison en mai valait 337,20 dollars, contre 338,20 dollars le vendredi précédent. A New York, la livre de SUCRE BRUT pour livraison en mai valait 12,60 cents, contre 12,40 cents sept jours auparavant.
A Londres, la tonne de CACAO pour livraison en mai valait 1.630 livres sterling, contre 1.675 livres sterling le vendredi précédent. A New York, la tonne pour livraison en mai valait 2.160 dollars, contre 2.224 dollars sept jours plus tôt.

Les cours du blé et du maïs ont nettement progressé cette semaine à Chicago, dans un contexte d'inondations aux Etats-Unis, le soja reculant un peu, pris en étau entre la guerre commerciale Pékin-Washington et des ventes décevantes.
Au sujet du maïs, "les courtiers sont concentrés sur les perspectives de semis", a indiqué Dewey Strickler, de Ag Watch Market Advisors, avant la publication de données en fin de semaine prochaine.
Selon lui, les conséquences des récentes inondations, qui pourraient retarder le travail de la terre, devraient se refléter dans les chiffres.
C'est particulièrement le cas pour les Etats de l'Iowa et du Nebraska, très touchés, rappellent les analystes de la maison de courtage Allendale.
Ces inondations historiques ont entraîné la mort de plusieurs personnes et causé des dégâts estimés à plus d'un milliard de dollars dans le Nebraska.
Vendredi, le cours du maïs a, dans le même temps, bénéficié d'une annonce du ministère américain de l'Agriculture (USDA) portant sur une commande de 300.000 tonnes de maïs à destination de la Chine.
La progression du cours du maïs a nourri celle du blé cette semaine, ont observé plusieurs analystes.
Après un plongeon de 19% entre la mi-février et le 11 mars, le cours a repris lors des onze derniers jours environ la moitié de ce qu'il avait perdu.
Selon un rapport américain publié jeudi, les ventes américaines se sont par ailleurs affichées à 298.600 tonnes lors de la semaine achevée le 14 mars, au milieu d'une fourchette de prévisions de 200.000 à 450.000 tonnes.
Le soja a baissé un peu cette semaine, hésitant au gré des informations publiées au sujet de la guerre commerciale entre Pékin et Washington, tandis que les ventes américaines ont été jugées décevantes.
Celles-ci ont atteint 399.500 tonnes, bien en dessous des anticipations, soit entre 600.000 et 1,6 million de tonnes.
Sur le front de la guerre commerciale, les négociateurs américains se rendront une nouvelle fois en Chine les 28 et 29 mars pour tenter de parvenir à un accord avec Pékin, a annoncé jeudi le ministère chinois du Commerce.
L'issue de ce bras de fer entre les deux plus grandes économies du monde reste pour le moment assez floue, tout comme le sommet politique entre Donald Trump et son homologue chinois, Xi Jinping, dont les contours et le calendrier sont très peu lisibles par les investisseurs.
Le boisseau de blé pour mai a terminé vendredi à 4,6600 dollars, contre 4,6225 dollars vendredi dernier (+0,81%).
Le boisseau de maïs (environ 25 kg) pour livraison en mai, contrat le plus actif, a clôturé à 3,7825 dollars, contre 3,7325 dollars vendredi dernier (+1,34%).
Le boisseau de soja (environ 25 kg) pour livraison en mai, contrat le plus échangé, a fini à 9,0375 dollars, contre 9,0725 dollars à la clôture vendredi dernier (-0,38%).
 
 
 
 

     CALENDRIER ECONOMIQUE

    de la semaine du 18 Mars 2019

 
 
 
 HEURE  DEVISE  EVENEMENTS
 Mardi 19 Mars 2019
 13H00  EUR  Le climat économique Allemand ZEW
 Mercredi 20 Mars 2019
 21H00  USD  FOMC Déclaration
 21H30  USD  Taux des fonds fédéraux
 Jeudi 21 Mars 2019
 15H30  USD  Indice de fabrication Philly Fed
 Vendredi 22 Mars 2019
 12H00  EUR  Climat des affaires Allemand
 
 
 
Promoteur    
Pride Holding
 
 
 
UNIVERSITÉ D'ANTANANARIVO
avec le Département Gestion de la Faculté DEGS de l’Université d’Antanarivo
 
 
  Avertissement: Ce bulletin est publié uniquement à des fins d'information et ne doit pas être interprété comme un conseil ou une recommandation. Cette lettre d'information peut contenir des renseignements qui peuvent ne pas s'appliquer à votre situation ou à votre juridiction. Les opinions exprimées ici ne dépendent que de la personne qui a exprimé les points de vue; MEX Madagascar ne porte pas de telle de la responsabilité aux opinions exprimées.  
 
  Les mouvements dans divers instruments négociés dans n'importe quel échange peuvent comporter un risque élevé. Un mouvement de marché relativement faible peut conduire à un effet proportionnellement beaucoup plus important dans la Toutefois, Mercantile Exchange of Madagascar ne peut être tenue pour responsable de l'exactitude des informations, ou des pertes commerciales éventuelles, de la valeur marchande de votre investissement, ce qui peut également nuire à vos prévisions. Les informations contenues dans ce document sont compilées à partir de sources jugées fiables. Le client peut encourir dans le commerce ou autrement.  

 
  Pour plus d'informations sur Mercantile Exchange of Madagascar, veuillez nous écrire à
info@mexmadagascar.com ou appelez-nous au: +261 20 22 537 64/ 68, 032 11 600 15
Ou
Suivez-nous sur les sites Web des médias sociaux:
Facebook
 
  © 2017 Mercantile exchange of Madagascar limited
All rights Reserved.