Mercantile Exchange of Madagascar

MEX Madagascar Revue hebdomadaire

Volume: 78

31 Décembre 2018 au 04 Janvier 2019

Générée le 07 Janvier 2019

 
 
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     METAUX PRECIEUX

 
 
 
 Métaux précieux  Open  High  Low  Close
 SPT-GOLD  3839287.5  3895650  3828037.5  3854587.5
 SPT-SILVER  46102.5  47857.5  45382.5  47025
 COOPER  8055  8110  7701  7933
 
 
  Les contrats à terme sur Or ont reculé durant la séance américaine ce Lundi. Sur la division Comex du New York Mercantile Exchange, Les contrats à terme sur Or pour livraison en Février s'échangeaient à 1.281,60 dollars l'once troy au moment de la rédaction de l'article, en baisse de 0,11%.

Plus tôt, l'once troy s'échangeait lors d'une session baissière à dollars. L'or était susceptible de trouver un support à 1.267,40 dollars et une résistance à 1.286,45 dollars. L'Futures indice du dollar US, qui suit les performances du billet vert face à six autres principales devises, a reculé de 0,18% pour s'échanger à 95,792 dollars. Ailleurs sur le Comex, L'argent pour livraison en Mars a progressé de 0,40% et s'échangeait à 15,498 dollars l'once troy tandis que Le cuivre pour livraison en Mars a reculé de 1,58% pour s'échanger à 2,639 dollars la livre.

Les contrats à terme sur Or ont augmenté durant la séance américaine ce Mardi. Sur la division Comex du New York Mercantile Exchange, Les contrats à terme sur Or pour livraison en Février s'échangeaient à 1.284,70 dollars l'once troy au moment de la rédaction de l'article, en hausse de 0,01%. Plus tôt, l'once troy s'échangeait lors d'une session haussière à dollars. L'or était susceptible de trouver un support à 1.267,40 dollars et une résistance à 1.286,50 dollars.

L'Futures indice du dollar US, qui suit les performances du billet vert face à six autres principales devises, a reculé de 0,28% pour s'échanger à 95,700 dollars. Ailleurs sur le Comex, L'argent pour livraison en Mars a progressé de 0,03% et s'échangeait à 15,560 dollars l'once troy tandis que Le cuivre pour livraison en Mars a progressé de 0,00% pour s'échanger à 2,643 dollars la livre.

Les contrats à terme sur Or ont reculé durant la séance américaine ce Mercredi. Sur la division Comex du New York Mercantile Exchange, Les contrats à terme sur Or pour livraison en Février s'échangeaient à 1.282,80 dollars l'once troy au moment de la rédaction de l'article, en baisse de 0,12%. Plus tôt, l'once troy s'échangeait lors d'une session baissière à dollars. L'or était susceptible de trouver un support à 1.269,10 dollars et une résistance à 1.290,80 dollars.

L'Futures indice du dollar US, qui suit les performances du billet vert face à six autres principales devises, a progressé de 0,84% pour s'échanger à 96,537 dollars.

Ailleurs sur le Comex, L'argent pour livraison en Mars a progressé de 0,14% et s'échangeait à 15,562 dollars l'once troy tandis que Le cuivre pour livraison en Mars a reculé de 0,72% pour s'échanger à 2,612 dollars la livre. Les contrats à terme sur Or ont augmenté durant la séance américaine ce Jeudi.

Sur la division Comex du New York Mercantile Exchange, Les contrats à terme sur Or pour livraison en Février s'échangeaient à 1.294,00 dollars l'once troy au moment de la rédaction de l'article, en hausse de 0,77%. Plus tôt, l'once troy s'échangeait lors d'une session haussière à dollars. L'or était susceptible de trouver un support à 1.276,50 dollars et une résistance à 1.294,90 dollars. L'Futures indice du dollar US, qui suit les performances du billet vert face à six autres principales devises, a reculé de 0,54% pour s'échanger à 95,903 dollars.

Ailleurs sur le Comex, L'argent pour livraison en Mars a progressé de 0,87% et s'échangeait à 15,785 dollars l'once troy tandis que Le cuivre pour livraison en Mars a reculé de 1,75% pour s'échanger à 2,577 dollars la livre. Le prix de l'or a baissé vendredi, alors que les chiffres sur l’emploi étaient supérieurs aux attentes, augmentant ainsi les chances d'une hausse des taux de la Réserve fédérale cette année.

Sur le Comex l’or pour livraison en février a chuté de 0,7% à 1 286,15 $ l'once troy à 9h11 (14h11). Les salaires non agricoles ont augmenté de 312 000 en décembre, bien au-dessus des prévisions, tandis que le taux de chômage a augmenté de manière inattendue alors que de plus en plus de personnes cherchaient un emploi pendant la saison des vacances.

Les données optimistes donneront probablement à la Fed une raison d’augmenter ses taux d’intérêt, ce qui contribuera à accroître la demande de dollars américains et à réduire l’appétit des investisseurs pour les lingots.

Le prix des lingots a également été ébranlé par la hausse soudaine du dollar. L’indice dollar, qui mesure la force du billet vert par rapport à un panier de six grandes devises, a augmenté de 0,22% à 96,09. Le métal précieux baisse généralement à mesure que le dollar grimpe, car il est libellé en devise américaine et sensible aux mouvements. Le lingot devient plus cher pour les détenteurs d'autres devises lorsque le dollar progresse et moins cher quand il baisse.

Dans le même temps, les traders attendent également les commentaires du président de la Réserve fédérale, Jerome Powell, à 10h15 (15h15 GMT). Même s'il ne s'attend pas à ce qu'il diffère des déclarations antérieures, les investisseurs écouteront attentivement toute clarification concernant la politique monétaire. Les autres métaux étaient plus élevés sur le Comex, avec l’argent stable à 15,79 $ l'once troy. Parmi les autres métaux précieux, le platine a augmenté de 0,7% à 805,20 $, tandis que le palladium a progressé de 0,2% à 1 202,35 $ l'once. Le cuivre à terme a bondi de 1,5% à 2,61 $ la livre.

Vendredi midi sur le marché au comptant, l'once de métal fin se repliait de 3,2 dollars par rapport à la veille au soir pour revenir à 1.290,7 dollars. Elle a cependant frôlé les 1.297 dollars en matinée, soit son plus haut niveau en plus de six mois.

La valeur refuge se tasse ce midi alors que le marchés d'actions, actifs risqués par excellence, tentent de rebondir. Soit, mais les derniers indicateurs macroéconomiques demeurent globalement moroses, et le contexte de taux aussi. Le rendement du T-Note américain à dix ans se limite à 2,60% ce midi.

Et cela ne s'arrange pas : 'en baisse de 12 points de base sur la journée (d'hier), le rendement du bon du Trésor (américain) à deux ans est passé, en fin de séance, sous le seuil de 2,4% (à 2,38%), atteignant la parité avec le taux effectif des fed funds pour la première fois depuis 2008', commentait ce matin un spécialiste des marchés.

'Cette convergence indique que les investisseurs ne pensent pas que la banque centrale (des Etats-Unis, la Réserve fédérale, ndlr) sera en mesure de poursuivre ses relèvements de taux en 2019, contrairement à ses anticipations', ajoutait-il.
 
 
 
 

     PRODUITS ENERGETIQUES

 
 
 
 Produits Energetiques  Open  High  Low  Close
 BRC-MEXM  160470  172240  157530  172240
 NG-MEXM  9318  9420  8634  9099
 
 
  Londres: Les prix du pétrole montaient vendredi en cours d'échanges européens, profitant de l'appétit des marchés pour le risque alors que les négociations entre Pékin et Washington vont reprendre lundi. Vers 11H00 GMT (12H00 HEC), le baril de Brent de la mer du Nord pour livraison en mars valait 57,12 dollars sur l'Intercontinental Exchange (ICE) de Londres, en hausse de 1,17 dollar par rapport à la clôture de jeudi. Dans les échanges électroniques sur le New York Mercantile Exchange (Nymex), le baril de "light sweet crude" (WTI) pour le contrat de février prenait 91 cents à 48 dollars.

Après une semaine d'échanges volatils, les cours du brut s'inscrivaient tout de même en nette hausse de 14% par rapport aux plus bas depuis l'été 2017 atteints la semaine précédente. "L'appétit pour le risque des marchés s'est amélioré avec l'optimisme sur l'avancée des négociations entre les Etats-Unis et la Chine sur les échanges commerciaux", a noté Lukman Otunuga, analyste de FXTM. Le ministère chinois du Commerce a confirmé vendredi que des négociateurs des Etats-Unis se rendraient en Chine lundi et mardi pour le premier tête-à-tête entre les deux puissances depuis que leurs chefs d'Etat se sont rencontrés début décembre pour tenter d'apaiser leur différend commercial.

Cette annonce a poussé les investisseurs à miser sur les actifs plus risqués et plus dépendants de la croissance mondiale, dont le pétrole fait partie. Par ailleurs, les baisses de production annoncées par l'Opep (Organisation des pays exportateurs de pétrole) et par ses partenaires début décembre commencent à être reflétées dans les données.

Le groupe pétrolier saoudien, le géant Saudi Aramco, a augmenté ses prix à la vente vers l'Asie malgré la chute des cours sur le marché mondial, "ce qui reflète le programme de baisse marquée des exportations", ont commenté les analystes de JBC Energy. En revanche, "les perspectives de production de pétrole de schiste aux Etats-Unis restent aussi robustes que jamais", a souligné M. Otunuga.

Alors que les Etats-Unis, déjà le premier consommateur d'or noir, sont devenus en 2018 le premier producteur, les marchés se tourneront vendredi vers les données hebdomadaires de l'Agence américaine d'information sur l'Energie (EIA) sur les stocks du pays. Pour la semaine achevée le 28 décembre, les analystes tablent sur une baisse de 3 millions de barils des stocks de brut, sur une hausse de 2,4 millions de barils des stocks d'essence et sur une hausse des stocks d'autres produits distillés (fioul de chauffage et gazole) de 1,1 million de barils, selon la médiane d'un consensus compilé par Bloomberg. Les cours du pétrole, après avoir beaucoup hésité, ont finalement terminé en hausse jeudi, les marques d'une baisse de la production de l'Opep permettant de reléguer au second plan les craintes d'un ralentissement de la demande.

Le baril de Brent de la mer du Nord pour livraison en mars a terminé à 55,95 dollars sur l'Intercontinental Exchange (ICE) de Londres, en hausse de 1,04 dollar par rapport à la clôture de mercredi. Sur le New York Mercantile Exchange (Nymex), le baril de "light sweet crude" (WTI) pour le contrat de février a pris 55 cents pour terminer à 47,09 dollars.


Les cours ont beaucoup oscillé en cours de séance, faisant dire à l'analyste de PVM, Tamas Varga, que "l'année commence comme la précédente avait fini, avec une volatilité exacerbée".

Les cours ont notamment piqué du nez juste après l'ouverture de la Bourse de New York, elle-même affaiblie par le plongeon d'Apple qui a prévenu que ses résultats trimestriels seraient moins bons que prévu en raison du ralentissement de la croissance chinoise. Cet avertissement signale encore un peu plus la fragilité de la croissance chinoise et laisse présager une demande terne de la part du premier importateur mondial d'or noir au cours des prochains mois. Mais les investisseurs réagissent aussi à la possibilité d'une offre moins importante que prévu. L'Arabie saoudite a ainsi exporté en décembre 7,25 millions de barils de brut par jour (mbj), soit moins que lors des deux mois précédents, selon des données compilées par l'agence Bloomberg à partir du suivi de navires pétroliers par satellite.

Ryad a ainsi "pris de l'avance sur son engagement à réduire sa production, ce qui est considéré comme un signal encourageant", a remarqué Andy Lipow, de Lipow Oil Associates."

L'Organisation des pays exportateurs de pétrole (Opep) et ses partenaires ont en effet promis début décembre de limiter leurs extractions à partir du 1er janvier pour mettre un terme à la chute des prix, qui ont cédé environ 40% depuis début octobre. La production continue par ailleurs à reculer au Venezuela et en Iran et "la capacité de la Libye à exporter est affectée par des conditions météorologiques défavorables", a souligné M. Lipow. Les investisseurs doivent toutefois prendre également en compte l'essor de la production des Etats-Unis, qui est devenu le premier producteur mondial d'or noir avec l'exploitation du pétrole de schiste.

Dans ce contexte, les données hebdomadaires de l'Agence américaine d'information sur l'Energie (EIA) seront scrutées lors de leur publication vendredi. Pour la semaine achevée le 28 décembre, les analystes tablent sur une baisse de 2,3 millions de barils des stocks de brut, sur une hausse de 2,7 millions de barils des stocks d'autres produits distillés (fioul de chauffage et gazole) de 1 million de barils, selon la médiane d'un consensus compilé par Bloomberg.
 
 
 
 

     AGRICULTURE

 
 
 
 Agriculture  Open  High  Low  Close
 WT-M-SEP18  15383  15562  15037  15474
 
 
  Les prix des céréales ont clôturé sans direction lundi lors de la dernière demi-séance de l'année 2018, dans un marché très calme entre les fêtes de Noël et du Nouvel an. Les cours du blé et du maïs ont reculé la semaine semaine à Chicago alors que la fermeture partielle des administrations a empêché la publication de données économiques d'envergure, ajoutant de la torpeur à un marché traditionnellement calme entre Noël et le Nouvel An. Le 1er janvier, les marchés européens et américains seront fermés, ils rouvriront mercredi 2 janvier. A la clôture de 14h00 (13h00 GMT) sur Euronext, la tonne de blé était en baisse de 0,25 euro sur l'échéance de mars à 203,25 euros, et en hausse de 0,25 euro sur celle de mai à 205 euros, pour plus de 2.180 lots échangés. A la même heure, la tonne de maïs gagnait 0,75 euro sur l'échéance de janvier à 177 euros, comme sur celle de mars à 180,25 euros, pour seulement 108 lots échangés.

Les prix des céréales restaient calmes mercredi en milieu de journée sur le marché européen à terme Euronext, les organismes stockeurs ne reprenant leur activité que lundi prochain. À 13h00 (12h00 GMT) sur Euronext, la tonne de blé était stable à 203,25 euros sur l'échéance de mars, et perdait 25 centimes d'euro sur celle de mai, à 204,75 euros, pour plus de 2 260 lots échangés. À la même heure, la tonne de maïs s'appréciait de 1,50 euro sur l'échéance de janvier à 180 euros, et 25 centimes d'euros à 180,50 euros sur celle de mars, pour seulement 163 lots échangés.

En ce début d'année, les opérateurs suivent un appel d'offres de Taïwan pour 111 650 tonnes de blé américain, et la Jordanie a lancé un appel d'offres pour 120 000 tonnes de blé. La compétitivité du blé français sur la scène internationale dépendra largement de l'évolution des exportations argentines et russes, souligne Agritel. Si la qualité pourrait être un frein à l'export pour l'Argentine, l'origine russe quant à elle demeure compétitive, et ce d'autant plus que le gouvernement russe subventionne les coûts de transports vers les ports, ajoute le cabinet. Les prix du blé ne bougeaient pas, ou presque, jeudi à la mi-journée, dans un marché très calme, de nombreux opérateurs étant encore en vacances.

« Les volumes sont faibles, les opérateurs seront plus présents la semaine prochaine », indiquait Sébastien Poncelet, analyste au cabinet Agritel, qui soulignait que « les opérateurs de la mer Noire (Russie, Ukraine, Kazakhstan) sont en plein congés ». La majorité des organismes stockeurs ne reprennent leur activité que lundi prochain. En outre, l'évolution de la parité euro/dollar, n'était pas de nature à booster l'activité, contrairement à mercredi où « les soubresauts de l'euro/dollar » ont soutenu les prix, rappelait Sébastien Poncelet.

Peu avant 12h45 (11h45 GMT) sur Euronext, la tonne de blé était inchangée sur l'échéance de mars à 204 euros et perdait 25 centimes d'euro sur celle de mai à 205,25 euros, pour un volume d'échanges extrêmement faible d'environ 2 200 lots. La tonne de maïs, elle, était inchangée, tant sur l'échéance de mars à 180 euros, que sur celle de juin à 183,75 euros, pour un peu plus de 400 lots échangés. Les prix du blé étaient très légèrement dans le vert vendredi à la mi-journée, soutenus par des nouvelles d'Argentine dans un marché encore extrêmement calme, avant la rentrée des organismes stockeurs lundi.

Parmi les facteurs de soutien aux prix, les nouvelles en provenance d'Argentine, concurrent d'ordinaire du blé français, notamment sur des marchés stratégiques comme l'Algérie. « En Argentine, les rendements baissent avec des pluies conséquentes et on émet beaucoup de doutes sur la qualité », indiquait à l'AFP Antoine Gautier, analyste au cabinet ODA. Il notait que les chargements de blé au départ de ce pays, soutenus en début de récolte, avaient « bien ralenti » ces derniers jours. « Le rebond des prix sur le marché américain et les craintes sur les qualités des blés argentins permettent ainsi aux origines européennes d'effacer le mouvement de repli des deux dernières semaines et dans l'attente d'un rapide retour des affaires à l'export en ce premier trimestre 2019 », notait pour sa part le cabinet Agritel, dans une note publiée ce jour. Peu avant 12h30 (11h30 GMT) sur Euronext, la tonne de blé progressait de 25 centimes d'euro sur l'échéance de mars à 206,25 euros, et de 25 centimes également sur le contrat de mai à 207,50 euros, pour à peine 3 600 lots échangés. La tonne de maïs suivait la même tendance, progressant de 50 centimes sur l'échéance de mars à 181,25 euros, et de 25 centimes sur celle de juin à 184,50 euros, pour moins de 100 lots échangés toutefois.
 
 
 
 

     CALENDRIER ECONOMIQUE

 
 
 
 HEURE  DEVISE  EVENEMENTS
 Mercredi 09 Janvier 2019
 22:00  USD  FOMC Comptes rendus des réunions
 Vendredi 11 Janvier 2019
 16:30  USD  CPI (m/m)
 18:00  USD  Consommation préliminaire de l’UoM
 
 
 
Promoteur    
Pride Holding
 
 
 
UNIVERSITÉ D'ANTANANARIVO
avec le Département Gestion de la Faculté DEGS de l’Université d’Antanarivo
 
 
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