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MEX Madagascar Revue hebdomadaire
Volume: 75
10 Décembre au 14 Décembre 2018
Générée le 17 Décembre 2018
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| SPT-GOLD |
3746925 |
3750862.5 |
3709125 |
3714525 |
| SPT-SILVER |
43762.5 |
44762.5 |
44010 |
44100 |
| COOPER |
8191 |
8410 |
8145 |
8265 |
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Les prix de l'or ont baissé vendredi, le dollar américain ayant augmenté en prévision d'une hausse des taux de la Réserve fédérale américaine la semaine prochaine. L’or pour livraison en février a chuté de 0,3% à 1 242,95 dollars l'once Troy à 4h51 HE (9h51 GMT).Le prix des lingots a été ébranlé par un billet vert plus fort. La Fed devrait augmenter ses taux de 25 points de base lors de sa prochaine réunion de mercredi, sa quatrième hausse de taux cette année. Les chances de hausse sont estimées à 79,2%, selon {{frl ||l’outil de suivi des taux de la Fed d’Investing.com}}.Les gains en dollars devraient toutefois être de courte durée, car la banque centrale devrait ralentir son rythme de hausse des taux en 2019.Une combinaison de données sur l’inflation et de commentaires accommodants de la part des décideurs de la Fed a brouillé les prévisions des investisseurs sur le nombre de hausses de taux l’an prochain. L’indice dollar, qui mesure la force du billet vert par rapport à un panier de six grandes devises, a augmenté de 0,5% à 97,55.Le métal précieux baisse généralement avec la hausse du dollar, car il est libellé en devise américaine et sensible aux mouvements. Le lingot devient plus cher pour les détenteurs d’autres monnaies lorsque le dollar monte et moins cher quand il baisse. Les autres métaux étaient en baisse sur le Comex, avec l’argent en baisse de 1% à 14,697 $ l'once Troy. Parmi les autres métaux précieux, le Platine a diminué de 0,5% à 793,05 $, tandis que le Palladium a plongé de 1,5% à 1 172,70 $ l'once. Le cuivre a reculé de 1,3% à 2,731 $ la livre.
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| Energie |
Open |
High |
Low |
Close |
| BRC-MEXM-FEV19 |
186 000 |
186 990 |
177 990 |
180 835 |
| CL-MEXM-JANV19 |
157 170 |
159 810 |
151 050 |
153 270 |
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Pour le début de la semaine, Les cours du pétrole commençaient à se stabiliser lundi en Asie après un net rebond consécutif à l'accord de réduction de la production conclu par l'Opep et ses alliés. La réduction, correspondant à un peu plus de 1% de la production mondiale, est destinée à rééquilibrer le marché et à enrayer la chute des cours, qui ont dévissé de 30% en deux mois dans un contexte de surproduction chronique.Ce recul était vu d'un bon oeil par le président américain Donald Trump qui veut ménager les automobilistes de son pays. Les prix du pétrole ont rebondi mardi après une forte baisse de 3% lors de la session précédente, alors que les actifs risqués avaient retrouvé leur attrait et qu'une interruption de l'offre en Libye a continué de soutenir les prix avant les données des stocks américains. Le mercredi, Les prix du pétrole ont augmenté en Asie après l'annonce d'une perte de production de 315 000 barils par jour dans le champ pétrolifère d'El Sharara, saisi le week-end dernier par une milice locale. Dans le même temps, la National Oil Company (NOC) libyenne a annoncé une perte supplémentaire de 73 000 barils par jour sur un autre champ pétrolifère, El Feel. Les prix du pétrole ont légèrement augmenté jeudi, soutenus par une réduction des stocks de brut américain et par des signes d'assouplissement de la guerre commerciale entre les États-Unis et la Chine, les deux plus grandes économies du monde et les deux plus grands consommateurs de pétrole. Les prix du pétrole brut ont également été soutenus par les restrictions de l'offre dictées par l'OPEP annoncées la semaine dernière, bien que les gains aient été plafonnés après que le groupe de producteurs a abaissé ses prévisions de demande pour 2019. Les prix du pétrole ont baissé vendredi, alors que les signes d'un ralentissement de la croissance en Chine ont atténué les espoirs de demande et que les investisseurs ont choisi de prendre leurs bénéfices après une forte hausse un jour plus tôt. La baisse des prix du pétrole vendredi a effacé une partie des gains de près de 3% enregistrés un jour plus tôt après les prévisions mises à jour de l'Agence internationale de l'énergie (AIE), qui prévoit un déficit d'approvisionnement au deuxième trimestre de 2019 si l'OPEP et ses alliés progressent prévoit de réduire la production à partir de janvier. Les inquiétudes concernant une surabondance de l'offre mondiale resteront à l'honneur vendredi, les investisseurs gardant un œil sur la production future des États-Unis avec les données hebdomadaires de Baker Hughes publiées à 13h00 (18h00 GMT).Le nombre d'appareils de forage américains a chuté de 10 à 877 la semaine dernière, tandis que la Energy Information Administration rapportait que la production de pétrole aux États-Unis était tombée d'un record de 11,7 millions de barils par jour à 11,6 millions de dollars, apaisant les craintes d'une augmentation de la production.
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| Agriculture |
Open |
High |
Low |
Close |
| WT-M-SEP18 |
15922 |
15930 |
15525 |
15887 |
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Les prix du blé et du maïs étaient en léger retrait technique lundi en milieu de journée sur le marché européen Euronext, après la hausse de vendredi. Vers 12h45 (11h45 GMT) sur Euronext, la tonne de blé perdait 0,50 euro sur l'échéance de mars à 203,25 euros ainsi que sur celle de mai à 204 euros, dans un marché d'à peine plus de 1 740 lots échangés. La tonne de maïs perdait 0,25 euro sur l'échéance de janvier à 173,75 euros, et 0,50 euro sur celle de mars à 175,75 euros, pour un peu plus de 230 lots échangés. Le blé s'est apprécié de deux euros la tonne vendredi sur des statistiques américaines montrant de bonnes exportations hebdomadaires, et la perspective de voir les exportations américaines et européennes accélérer. « Il n'en demeure pas moins que les marchés restent suspendus à l'évolution des relations commerciales entre la Chine et les États-Unis et que dans ce domaine l'arrestation de la directrice financière de Huawei n'est pas faite pour détendre l'atmosphère », souligne Agritel dans une note. Le marché suivait la vente de 224 000 tonnes de blé dur par les États-Unis pour une destination non communiquée. L'Irak a acheté 50 000 tonnes de blé américain. Selon les douanes, la France a exporté 1,13 million de tonnes de blé en octobre, dont 625 000 tonnes hors de l'Union européenne. À fin octobre, les exportations de blé français étaient 8 % supérieures à celles de l'an passé à la même date. Les prix du blé étaient en très légère augmentation, mardi après-midi, quelques heures avant la publication d'un rapport américain.S'il se reprenait un peu, l'euro restait « autour de 1,14 dollar, ce qui n'est pas mal », commentait Gautier Le Molgat, analyste au cabinet Agritel. Le service statistique du ministère de l'agriculture, Agreste, a publié ses prévisions de semis pour les prochaines céréales d'hiver. Dans ses projections, la sole de blé tendre d'hiver atteindrait 5 millions d'hectares, en progression de 3,5 % par rapport à l'an dernier. Ce chiffre, qui aurait pu peser sur les cours, « n'a aucun effet sur le marché », notait Gautier Le Molgat..Vers 15h00 (14h00 GMT) sur Euronext, la tonne de blé progressait de 50 centimes sur l'échéance demars à 204,50 euros, et de 50 centimes également sur celle de mai à 205 euros, dans un marché extrêmement calme avec moins de 9 000 lots échangés. Le marché attendait les projections mensuelles du ministère américain de l'agriculture (USDA) sur la production mondiale, pour se positionner réellement. La tonne de maïs, elle, était également dans le vert, regagnant 75 centimes sur l'échéance de janvier à 174,50 euros et 50 centimes sur celle de mars à 177 euros, pour quelque 600 lots échangés. Les prix du blé continuaient de s'apprécier mercredi en milieu de journée après la publication d'un rapport américain et la baisse de l'euro face au dollar mardi. Peu avant 12h45 (11h45 GMT) sur le marché à terme européen Euronext, la tonne de blé progressait de 25 centimes sur l'échéance de mars à 205 euros, et de 25 centimes aussi sur celle de mai à 205,25 euros, avec moins de 9 000 lots échangés. La tonne de maïs, elle, progressait de 50 centimes sur l'échéance de janvier à 175,25 euros et 75 centimes sur celle de mars à 177,50 euros, pour à peine plus de 400 lots échangés.Selon les opérateurs, le rapport mensuel du ministère américain de l'agriculture (USDA) publié mardi, a apporté très peu d'éléments significatifs, si ce n'est une hausse surprise des exportations de blé russe, estimées à 36,5 millions de tonnes contre 35 millions le mois dernier. Ces chiffres ont entraîné mécaniquement une baisse des prévisions d'exportations 2018/2019 des États-Unis (- 700 000 tonnes) et de l'Union européenne (-1 Mt).Au niveau mondial, le stock de blé fin de campagne s'affiche dorénavant à 268,10 millions de tonnes contre 266,71 estimés le mois dernier, et 279,94 millions de tonnes l'an passé. Concernant le maïs, la principale information du rapport, souligne Alban Fontaine, analyste au cabinet Agritel, « est la hausse attendue de la production ukrainienne », réévaluée de 33,5 à 35 Mt, ce qui augmente les perspectives d'exportation pour le pays. Du coup, la production mondiale de maïs est revue en hausse de + 1 million de tonnes à 1,09 md t. Mercredi, le marché suivait un appel d'offres lancé par l'Égypte pour du blé. La reprise d'une activité presque normale sur le Rhin, pénalisé ces derniers mois par la sécheresse et un niveau extrêmement bas, est aussi un élément positif pour les marchés d'exportation de céréales européennes. Les prix du blé continuent leur ascension jeudi sur le marché européen à terme, après avoir brisé le plafond de résistance des 205 euros la tonne, encouragés par les perspectives de reprise des exportations, favorisées par une possible baisse de l'euro.À12h35 (11h35 GMT) sur le marché à terme européen Euronext, la tonne de blé gagnait 1,25 euro sur l'échéance de mars à 207,50 euros, et 1,25 euro sur celle de mai à 208 euros, avec plus de 13 420 lots échangés. La tonne de maïs, elle, restait sage, à 176,25 euros, stable par rapport à la veille sur l'échéance de janvier, et perdait 25 centimes sur celle de mars à 178 euros, pour 680 lots échangés. Le marché des changes, notamment le cours de l'euro, était suspendu au discours que doit prononcer le patron de la Banque centrale européenne (BCE) jeudi à Francfort. Il pourrait annoncer l'arrêt de la politique de rachat d'actifs qui a permis de soutenir la zone euro pendant la crise financière en Europe. Sur le marché du blé, un appel d'offres égyptien avait rythmé la séance de mercredi, après l'achat de 180 000 tonnes de blé russe et roumain. Le marché suivait aussi l'achat de 50 000 tonnes de blé américain par l'Irak. En France, le service statistique du ministère de l'agriculture Agreste a publié jeudi les chiffres de la récolte 2018 de céréales qui a diminué à 62,43 millions de tonnes, contre 68,52 millions en 2017. Pour le blé tendre, la récolte s'est réduite à 33,9 millions de tonnes contre 36,56 millions en 2017. Pour le maïs grain, à 12,38 millions de tonnes contre 14,29 millions en 2017.Les prix du blé restaient élevés vendredi en milieu de journée, après une forte progression jeudi due aux perspectives de reprise des exportations américaines et d'éventuelle réduction de celles de blé russe. Les ventes hebdomadaires de blé américain sont de nouveau ressorties sur un niveau élevé à 742 000 tonnes, soit dans la fourchette haute des attentes des opérateurs, ce qui a conforté les attentes optimistes sur les exportations américaines, a souligné le cabinet ODA.À 14h40 (12h40 GMT) sur le marché à terme européen Euronext, la tonne de blé était stable à 207,50 euros, ainsi que sur l'échéance de mai à 208,25 euros, avec près de 15 800 lots échangés. Le marché bénéficiait de l'annonce d'une réunion prévue le 21 décembre, entre le ministère de l'agriculture russe et ses principaux exportateurs, ouvrant la voie à des spéculations sur une éventuelle restriction de l'activité export, jusqu'à présent très soutenue en Russie, souligne le cabinet Agritel. La tonne de maïs était stable également à 177 euros sur l'échéance de janvier, et gagnait 25 centimes sur celle de mars à 179 euros, pour 462 lots échangés. Différentes statistiques entretiennent le sentiment haussier : en Argentine, la Bourse de Buenos Aires vient d'abaisser son estimation de production de blé à 19 millions de tonnes (contre 19,2 millions de tonnes précédemment) du fait de dégâts dus au gel et à la grêle, souligne Inter-courtage. Les statistiques chinoises ont aussi fait état d'une réduction des productions de céréales en Chine cette année, à 257,33 millions de tonnes en maïs (contre 259 millions de tonnes l'an passé), 131,43 millions de tonnes en blé (contre 134,23 millions l'an passé), 212,13 millions de tonnes en riz (contre 212,68 millions). Seule la production de soja progresse à 19,14 millions de tonnes (18,42 millions l'an passé).
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| HEURE |
DEVISE |
EVENEMENTS |
| Mardi, 18 Décembre 2018 |
| 12H00 |
EUR |
Climat des affaires Allemand |
| 16H30 |
USD |
Permission de construire |
| Mercredi, 19 Décembre 2018 |
| 18H30 |
USD |
Les stocks de pétrole brut |
| 22H00 |
USD |
Taux des fonds fédéraux |
| 22H30 |
USD |
FOMC Conférence de presse |
| Jeudi, 20 Décembre 2018 |
| 16H30 |
USD |
Philly Fed Indice de fabrication |
| Vendredi, 21 Décembre 2018 |
| 16H30 |
USD |
Final GDP (q/q) |
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| avec le Département Gestion de la Faculté DEGS de l’Université d’Antanarivo |
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